Cette Web série est une fiction.
Toute ressemblance avec des personnes
ou des situations réelles ou ayant existées
ne serait que pure coïncidence
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ne serait que pure coïncidence
Dossier X1709: DAMOCLES
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Partie 6 : Enquête
Résumé de la partie précédente : Un missile expérimental a été volé. Son principe
d’impulsion électromagnétique peut créer un « black out » total d’une
zone… Alexandre AVEN est en charge de l’enquête…
Samedi, 11h28
Paris, Ministère de la Défense à
l’Hexagone Balard,
Siège de la DRSD
Général DUPONT-MARTIN : « Bon. Nous savons que ce convoi militaire
était sous le sceau du « Très Secret Défense », du faite de son
transport d’un missile expérimental. Donc très peu de personnes étaient au
courant. Pourtant, l’opération qui a permis de voler ce missile était très
élaborée, avec des conséquences précises en cas de panne du convoi… »
Edouard DUVOUX : « Je viens de recevoir les dernières
informations allemandes : le camion militaire volé est tombé en panne
suite à des données transmises à son ordinateur de bord. Selon leurs
techniciens allemands, les données ont du être transmises avec une mallette
électronique, par onde à proximité du camion, certainement par un véhicule qui
s’est mis à la hauteur du camion… »
Alexandre
AVEN : « Réussir à
couper la puissance du moteur de ce camion à distance, pour compter sur
l’intervention d’une dépanneuse militaire, montre une connaissance des modes opératoires
de l’armée allemande en cas d’intervention rapide de dépannage… »
Alexandre
AVEN : « Le trajet
et les heures de progression du convoi qui devait emmener les 3 missiles sur
une base aérienne militaire française étaient connus d’une dizaine d’officiers
allemands et français. »
Edouard DUVOUX : « La difficulté, ensuite, a été de dresser des
barrages pour retrouver le véhicule où se trouvaient les missiles… A-t-il
passé la frontière allemande ? Est-il en France ? Est-ce que les missiles ont quitté l’Europe ?»
Général DUPONT-MARTIN : « Oui. Et à qui profite le vol de ces missile ? Est ce un gouvernement qui a volé cette technologie ou est-ce un
groupe mafieux pour le revendre ? »
Officier : « Excusez moi de vous déranger, mais nous avons une
information de première importance… »
Général DUPONT-MARTIN : « Allez y Capitaine ! Nous vous
écoutons… »
Officier : « Les allemands nous ont signalé le vol d’un semi remorque
noir, là où nous avions suivi le premier camion blanc qui s’était arrêté dans
une entreprise… »
Officier : « Les policiers allemands ont recueilli comme information
que des hommes ont manipulé une caisse de ce camion, et l’ont mis dans un camion
semi remorque noir qu’ils ont ensuite volé… Certainement le 3ème
missile avait été mis dans ce camion que nous suivions sans savoir qu’il
l’avait. Ils en ont profité pour l’échanger dans cette entreprise… Le
camion volé possède un système de géolocalisation et a été retrouvé en France à
Molsheim, en Alsace. La Gendarmerie l’a retrouvé avec sa remorque vide… »
Officier : « Les allemands viennent de nous envoyer les numéros de
téléphone localisés par les bornes réceptrices de télécommunications des
réseaux téléphoniques des Smartphones, là où le camion militaire volé a été
abandonné. Nous avons eu une concordance : Nous avons 1 numéro de
téléphone qui était sur la zone allemande et qui est sur la zone française
actuellement où le camion noir volé a été retrouvé… Le Smartphone est
toujours sur la zone, mais il est difficile de le positionner précisément… »
Général DUPONT-MARTIN : « Edouard, allez immédiatement avec
Alexandre sur zone ! Un hélicoptère vous attend dans la cour pour vous
emmener à MOLSHEIM. »
MOLSHEIM, Alsace, France 12h49
Pilote de l’hélicoptère : « Nous sommes arrivés sur zone
!!! J’atterris au plus près ! »
Pilote de l’hélicoptère : « Vous pouvez descendre ! »
Alexandre
AVEN : « On a un
comité d’accueil… »
Alexandre
AVEN : « Alexandre
AVEN, du DRSD et Edouard DUVOUX de l’Etat Major. Vous avez plus
d’informations ? »
Capitaine DUMONT : « Capitaine DUMONT, de la Brigade de
Recherches de Strasbourg. Nous vous attendions… Le téléphone est toujours
détecté sur la borne de relais qui a un périmètre de 7 kilomètres. Il n’a pas
émis et nous ne savons pas où il est exactement. »
Capitaine DUMONT : « Le camion était stationné ici… Il n’y a
personne dans cette zone artisanale… Et pas de caméra de surveillance… Donc
aucun témoin… »
Capitaine DUMONT : « Nos TIC (Technicien d’Identification
Criminelle) sont en plein travail à la recherche d’indices… »
Capitaine DUMONT : « Mais ils n’ont rien trouvé pour
l’instant… »
Capitaine DUMONT : « Comme il a été signalé que ces voleurs
pouvaient être dangereux, des gendarmes sont autour de nous prêts à bloquer les
routes et voici 8 membres du PSIG SABRE de Strasbourg avec leurs voitures
banalisées pour nous épauler au cas où. »
Lien sur les PSIG
SABRE :
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Alexandre
AVEN : « Mais
pourquoi être venu dans cet endroit précis ? Est ce qu’ils pourraient
utiliser l’arme ici ? »
Edouard DUVOUX : « Techniquement, si c’est un pays qui a des
techniciens militaires qui savent comment amorcer une bombe, oui… Mais sa
puissance est très limitée. Tout au plus 5 kilomètres carrés. Par contre, si ce
sont de simples voleurs pour la préparer,
ce sera plus difficile»
ce sera plus difficile»
Alexandre
AVEN : « Et si ils
avaient tout simplement jeté le portable. C’est pour cela qu’il est toujours
positionné ici… En arrivant en hélicoptère, nous n’avons vu que des
petites usines, des lieux de stockages, des champs, des petits lotissements…
Rien de stratégique… Y a-t-il une autre ville importante capitaine à côté
de ce village ? »
Capitaine DUMONT : « Non, il y a la commune de MUTZIG qui est connu pour son fort allemand,
mais rien de plus… »
Edouard DUVOUX : « MUTZIG ??? Le Fort de MUTZIG est juste à
côté d’ici ??? »
Capitaine DUMONT : « Oui, c’est bien ça, l’ouvrage militaire
construit par les allemands en 1893 et qui se visite en témoignage des 2
dernières grandes guerres de 14-18 et 39-45... C’est touristique… »
Edouard
DUVOUX : « Il y a surtout une station générale de stockage de
l’IM
dans ce fort !!! »
dans ce fort !!! »
Alexandre
AVEN : « L’IM ? »
Edouard DUVOUX : « Oui l’IM, pour infrastructure de
Mutualisation (IM). C’est un système d’ensembles de moyens d’espionnage des
télécommunications français. Son surnom est « Frenchelon » et fait référence au programme
anglo-saxon « ECHELON », le système mondiale d'écoutes américaines. »
Edouard DUVOUX : « Ce système français fait partie du renseignement électronique stratégique. D’autres sites se trouvent en France et dans les DOM TOM comme sur l’Ile de la Réunion, Papeete, en Nouvelle Calédonie, etc. Géré par la DRM (Direction du Renseignement Militaire) et la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure), ces stations captent les communications électroniques qui sont ensuite analysées par le biais de logiciels. Les messages interceptés peuvent être diplomatiques, militaires ou de grandes entreprises… »
Edouard DUVOUX : « Ce système français fait partie du renseignement électronique stratégique. D’autres sites se trouvent en France et dans les DOM TOM comme sur l’Ile de la Réunion, Papeete, en Nouvelle Calédonie, etc. Géré par la DRM (Direction du Renseignement Militaire) et la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure), ces stations captent les communications électroniques qui sont ensuite analysées par le biais de logiciels. Les messages interceptés peuvent être diplomatiques, militaires ou de grandes entreprises… »
Edouard DUVOUX : « Le site, qui est tout proche, regroupe une
énorme quantité de données numériques et d’appareils électroniques
d’interception des communications par satellites de dernière génération… »
Alexandre
AVEN : « Vous avez
entièrement raison. Si ils réussissaient à faire exploser le missile à Impulsion
Electro Magnétique Non Nucléaire, la France prendrait un énorme retard dans sa
surveillance et son analyse des données, ainsi qu’une perte sur celles déjà
captées… Il faut les retrouver avant qu’ils ne la fassent exploser. »
Alexandre
AVEN : « Allo Général, pouvez vous utiliser les satellites de recherches ? »
Général DUPONT-MARTIN en charge du
DRSD : « Oui, nous
avons encore accès aux commandes. Que recherchez vous ? »
Alexandre
AVEN : « Un endroit
calme pour eux, proche de la station de l’Infrastructure de Mutualisation de la DRM pour que la bombe est un effet maximum, donc
dans un rayon de moins de 5 kilomètres carrés autour du fort de MUTZIG… »
Edouard DUVOUX : « Et pour qu’elle fasse le maximum d’effet,
elle doit être mise en hauteur… »
Général DUPONT-MARTIN : « Très bien, je donne les indications de recherches maintenant
pour que nous les trouvions rapidement… »
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