Cette Web série est une fiction.
Toute ressemblance avec des personnes
ou des situations réelles ou ayant existées
ne serait que pure coïncidence
ou des situations réelles ou ayant existées
ne serait que pure coïncidence
Résumé de la partie
précédente : Alexandre AVEN a une piste. Le téléphone d’un suspect
américain a été détecté sur les lieux du crime et du cambriolage d’un ingénieur
français. Il est repéré à l’aéroport de Paris. Alexandre décide de suivre cette
piste qui l’emmène à San Francisco. Il découvre que le suspect travaille pour
une entreprise américaine d’armements : OTOMATIC Corp. Grâce à un salarié
de son ancien employeur, les Assurances MARAL, Alexandre va rencontrer le directeur général de cette
entreprise…
Le lendemain, 10h05,
Siège de OTOMATIC Corp
Alexandre AVEN : « Tu as réussi à avoir
un rendez vous avec le big boss ?? »
Harrison WELLS : « Oui. C’est un de
nos plus gros clients de la côte Ouest… »
Harrison WELLS : « Bonjour, Je suis
Harrison WELLS des Assurances MARAL. Nous sommes attendus par le directeur
général… »
Hôtesse
d’accueil : « Oui. Je l’appelle. »
Rick HINTER :
« Bonjour, Veuillez me suivre. Mr SEAWOLF vous attend… »
Rick HINTER :
« Il vient juste de terminer un rendez-vous ! »
Steven SEAWOLF : « Bonjour. Bienvenue dans
les entreprises OTOMATIC Corp »
Harrison WELLS : « Bonjour Monsieur
SEAWOLF, ce n’était pas le général Mac Allister ? »
Steven SEAWOLF : « En effet. Nous avons des contrats
avec l’armée américaine… Que me vaut le plaisir de vous voir ? »
Harrison WELLS : « Nous avons le
plaisir de recevoir un collaborateur du siège central de MARAL, et il voulait
rencontrer un de nos plus gros clients de la côte ouest… »
Steven SEAWOLF : « Voulez vous voir notre
centre de recherches pendant que nous échangeons ? »
Alexandre AVEN : « Pourquoi
pas ! »
Steven SEAWOLF : « Voici un de nos centres de
recherches sur les armes. »
Steven SEAWOLF : « Nos techniciens sont
entrain d’élaborer des armes de nouvelles technologies. »
Steven SEAWOLF : « Ici c’est un appareil pour
un drone mobile… »
Steven SEAWOLF : « Pour l’armée mexicaine… »
Steven SEAWOLF : « ou ici pour un drone de
surveillance de site…. »
Steven SEAWOLF : « Il est terminé et va être
essayé dans un de nos sites sécurisés… »
Steven SEAWOLF : « Celui-ci fonctionne grâce
à une intelligence artificielle et est autonome… »
Alexandre AVEN : « Intéressant. Car en
France, un de nos clients travaille aussi sur ce genre d’armements… Mais
un de leurs collaborateurs est décédé après qu’on lui est volé des
données… »
Steven SEAWOLF : « Tué ??? »
Alexandre AVEN : « Oui. Une enquête est
en cours et risque d’avoir des répercussions internationales… Mais je parle, je
parle… Monsieur WELLS voulait me présenter à un autre client et j’imagine que
votre temps est précieux !!! Merci pour cette visite… »
Harrison WELLS : « Pourquoi lui
avoir dit qu’une enquête avait lieu ? »
Alexandre AVEN : « Je compte bien lui
faire peur. Je suis persuadé que ses hommes ne lui ont pas tout dit sur comment
ils se sont procurés les informations en France… »
En effet, 10 étages
plus haut
Steven SEAWOLF : « Qu’est ce que c’est que
cette histoire ? Vous avez tué l’ingénieur français ??? »
Peter COOPERS : « Mais vous aviez dit : par n’importe quel moyen !!! »
Steven SEAWOLF : « Oui, mais pas comme ça…
Comment voulez vous que l’on puisse utiliser cette technologie ??? Sans
mort, il y aurait eu suspicion de vol et mes avocats auraient réussi à gagner….
Mais avec un mort… On ne pourra même pas utiliser ces inventions sans être associer
à un meurtre !!! »
Steven SEAWOLF : « Disparaissez le temps que
cette histoire s’oublie !!! »
Au même instant 10
étages plus bas…
Paul DURANT, agent de la DGSE : « J’étais
sûr de vous trouver par ici… 2 inspecteurs du FBI sont ici et ont eu le mandat
international d’enquête délivré par Interpol comme cous me l’aviez demandé hier…
Ils nous attendent au coin de la
rue… Venez que je vous présente… »
Paul DURANT, agent de la DGSE : « Voici
l’inspecteur spécial Steve OLAMA et l’inspecteur spécial Peter O’TOOL »
Alexandre AVEN : « Enchanté… On vous a
déjà dit que vous ressembliez au président des USA ??? »
Steve OLAMA, inspecteur du FBI : « Oui,
très souvent… Nous allons pouvoir entendre votre suspect, un certain Peter
COOPERS. »
Alexandre AVEN : « Oui. Il doit être
certainement dans les bureaux. Justement, le voilà qui sort de l’immeuble de
OTOMATIC Corp… »
Steve OLAMA, inspecteur du FBI : « Mister
COOPERS, Peter COOPERS, FBI, vous pouvez nous suivre s’il vous plait !!! »
Steve OLAMA, inspecteur du FBI : « Et
Shit !!! Il s’enfuit !!! »
Steve OLAMA, inspecteur du FBI : « Allo
Peter ? C’est OLAMA, notre suspect s’enfuit !!! Rejoins nous avec la
voiture juste devant !!! »
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